Je proteste! En tant qu'avocat de notre pauvre Trystanna nationale, je me dois de vous mettre en garde.
Dire de Trystanna qu'elle serait une dépravée, c'est de la diffamation pure et simple.
L'affaire n'en restera pas là, messieurs, elle compte bien saisir les tribunaux d'Orgrimmar pour que son image soit redorée...
En attendant, elle sollicite un droit de réponse dans le prochain numéro, chose que vous ne pouvez lui refuser en application de la loi sur la presse en Azeroth, publiée à la Gazette d'Orgrimmar n°342-12...